Le souriceau a ramé Jusqulí ce qu’il soit fatigué. Il a arrêté sa barque Et discute avec une carpe.
Les rayons chauds du soleil Chauffent sa fourrure lustrée. Il attache sa barque aux joncs Et plonge dans l’eau jusqulau nez.
Sur un îlot, il y a des fleurs, Il y va résolument, Cueille lí -bas un iris d’or Et nage vers un autre îlot.
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