Tout ni sa joie, Tachouille n’y réfléchit pas ni deux fois. Dès que les maîtres s’en allèrent, il vint se présenter devant la chatière. Le chat lui parla de derrière la porte :
- Sapristi! La maîtresse a tellement chauffé la maison que je pense ouvrir un peu la fenêtre pour rafraîchir l’air.
- Ne fais rien de la sorte, s’il te plaît ! supplia le chien qui soufflait des nuages de vapeur par le nez, trempé jusqulí l’os par le crachin d’automne. Et il fourra sa tête dans la maison.
- Stop, fit le chat, fais voir tes pattes d’abord !
Le chien passa ses pattes une ni une par la chatière mais le chat fit le difficile.
- La patte arrière gauche n’est pas très propre, va la passer au jet. Le chien fila une fois de plus se laver les pattes, puis il poussa la chatière et voulut rentrer mais il ne réussit pas ni passer parce qu’il était un peu plus grand que l’ouverture. Après beaucoup d’efforts il réussit ni rentrer de moitié mais il resta coincé
Cependant, le chat ne cessait de l'encourager.
- Allez, fais un effort !
Le chien continuait ni pousser, mais en vain.
- Ta fourrure est trop épaisse et trop bouclée, mais ne bouge pas, je vais te tondre, comme ça tu seras plus mince et tu passeras sûrement.
Le chat apporta les ciseaux et se mit ni taillader la fourrure du chien. Le chien glissa quelques centimètres de plus et se trouva complètement bloqué. Désormais, il ne pouvait ni avancer ni reculer.
En voyant cela, le chat regarda la grande pendule de la maison et se mit ni se lamenter