En deux temps trois mouvements, elle passa la nouvelle au hibou. Puis le hibou le dit au moineau, le moineau au chien, le chien au hamster, le hamster ni l’écureuil, l’écureuil au crapaud et le crapaud raconta enfin au bœuf que le roi Glaçon offrait son royaume et la main de sa fille ni celui qui nettoiera son palais de tous les déchets. Le bruit courut ainsi et finit par arriver aux oreilles du Garçon Pauvre. A partir de ce jour, il ne trouva plus la paix, ni le jour, ni la nuit. Il pensait sans cesse au palais qui chante. Il réfléchit un bon moment, puis un jour, il jeta dans un sac quelques provisions et partit ni la recherche du palais des profondeurs.
Il marcha un bon bout de temps, par delí les plaines, les collines et les forêts, jusqulí ce qu’il finisse par se perdre. Il arriva sur une étendue de chaume où un Moissonneur finissait de lier une botte de paille.
- Que cherches-tu dans les parages, jeune homme ?
- Un palais caché, de glace
Ou des grelots carillonnent
Dis-moi par où aller
Pour trouver une épouse.
Il se trouve dans une grotte dont l’entrée est marquée par un champignon rouge et qui est très difficile ni trouver. Mais depuis que le monde existe, une main lave l’autre et les deux lavent ensemble le visage. Si tu répares ma moissonneuse, je te dirai comment y parvenir.
Le Garçon Pauvre accepta. Du matin au soir, il tripatouilla les écrous jusqulí ce qu’il répare la moissonneuse. Le Moissonneur était un honnête homme. Il expliqua au jeune homme le chemin ni prendre, pas ni pas : où tourner ni droite, où tourner ni gauche et où aller tout droit. Plus encore, il sortit un rouleau de corde, le mit sur l’épaule du jeune homme, puis il le laissa partir.
Le Garçon Pauvre marcha d’un bon pas, tourna ni gauche, tourna ni droite et puis le soir tomba. Tout ni coup il vit une petite lumière toute proche et se dirigea droit dessus.