- Mon cher ami, je suis le seul ni savoir où se trouve ce palais. Il arriva ni une maison et frappa ni la porte. Clétait la maison d’un Maître Fondeur.
- Qui va lí ? Qui me dérange dans ma propre maison ? dit le Maître Fondeur d’une voix agacée et il ouvrit légèrement la porte.
- Maître Fondeur, je viens avec des bonnes pensées. Je cherche juste un abri… Et c’est vrai qu’un peu de nourriture ne ferait pas de mal ni mon ventre affamé, dit le jeune homme poliment.
- Soit ! Tu auras un abri et de la nourriture, mais d’ici deux jours je veux que tu me fabriques mille chaudrons en fer, dit le Maître Fondeur.
- Dlaccord, répondit le jeune homme et il tendit la main par la porte entrouverte.
Le Maître Fondeur le laissa entrer. Les deux mangèrent ni satiété et se reposèrent. Le lendemain, le jeune homme se réveilla avant l’aube, fit un feu géant, fit fondre le fer et le touilla vigoureusement toute la journée. Puis il coula les mille chaudrons, les empila les uns sur les autres et fit ainsi un énorme tas de métal, si haut que les oiseaux du ciel s’en émerveillèrent. Le Maître Fondeur lui dit:
- Tu as tenu ta promesse, tu as fabriqué mille chaudrons. Tiens, prends-en un ! et il poussa vers le jeune homme un chaudron géant.
Le jeune homme remercia pour le cadeau et repartit. Et comme le chemin était tout droit, il arriva devant l’amanite. Or, il ne vit ni champignon, ni trou, ni mousse, ni rayon de soleil. Par contre, il trouva des heaumes, des cuillères, des couteaux, des fourchettes rouillées et des bottes déchirées. Le jeune homme prit son chaudron en fer et se mit ni ramasser les saletés. Il travailla pendant sept jours et sept nuits, mais c’était comme s’il n’avait rien fait. Hélas, le huitième jour, Le Garçon Pauvre s’assit tristement ni l’ombre d’un chêne et se dit que le palais de glace allait disparaître parce qu’il ne pouvait pas lutter seul contre les ordures. Tout ni coup, il entendit le hibou dans le chêne